IVG : et si on en parlait

En France, 220 000 interruptions volontaires de grossesse sont pratiquées chaque année. Une femme sur trois avorte au moins une fois dans sa vie.

La rédaction d'Allo Docteurs
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Rédigé le , mis à jour le
IVG : et si on en parlait

Pourtant, plus de 40 ans après loi Weill qui dépénalise l’IVG, ce sujet reste encore tabou et pour certaines femmes, le recours à cette intervention médicale peut rencontrer de nombreux obstacles.

Pour interrompre la grossesse en cours, il faut séparer l’embryon de la muqueuse et l’extraire de l’utérus. Il existe deux méthodes pour avorter. Le choix dépend des attentes des femmes et du terme de la grossesse. La première méthode est chirurgicale. Elle est possible jusqu'à la 12ème semaine de grossesse. Le contenu de l'utérus est aspiré sous anesthésie locale ou générale.

La deuxième méthode est médicamenteuse et peut être réalisée jusqu'à la 5ème semaine de grossesse sans hospitalisation et jusqu'à la 7ème semaine de grossesse avec quelques heures d'hospitalisation. Le Dr Véronique Séhier, co-présidente du Planning familial, le Dr Charlotte Tourmente, médecin généraliste ont répondu à vos questions le mercredi 30 septembre 2015, de 15h à 16h, sur Allodocteurs.fr.